Allons-nous vers la fin du salariat dans un proche avenir ?

Le salariat est-il en train de mourrir ? Certains professionnels et beaucoup de médias en sont persuadés. La digitalisation est bien là ! Employeurs et employés sont soumis aux règles de la globalisation qui menace le travail traditionnel, cadré, hiérarchisé.

Tous les éléments nécessaires sont aujourd’hui réunis pour la disparition du salariat. Dans un contexte de mondialisation, mais surtout de digitalisation, ce n’est pas une nouvelle manière de travailler qui a émergé, mais plusieurs. La plupart d’entre elles possèdent des communs : la flexibilité de la main d’oeuvre, le rôle différent des frontières, la recherche effrénée de la diminution des coûts.

Etrange à y regarder de plus près quand nous appréhendons la propension innée de l’homme à oeuvrer « de manière sociale » (en groupe), à confier sa sécurité à une  » élite « .

Cependant, la période actuelle rime avec hybridation des équipes, indépendance professionnelle et collaboration entre talents à travers la planète entière.

L’ubérisation, aboutissement d’un nouveau modèle ?

Comment évoquer une éventuelle fin du salariat sans aborder un terme « à la mode » depuis quelques années : l’ubérisation.

Pour certains, il s’agit juste d’une excuse pour nourrir la précarité des statuts, d’un affront direct aux grands acquis sociaux , dune manière plus redoutable pour enrichir les riches, au détriment des travailleurs, qui ne récoltent que des miettes.

Pourquoi ne pas plutôt envisager ce processus économique comme une innovation ? Porté par le développement exponentiel du numérique et d’internet, les professionnels du digital y voient un vivier inépuisable d’esprits libres, comprenant les indépendants, auto-entrepreneurs…

Dans un monde où la digitalisation est là, comment ne pas mettre à profit le haut débit, l’internet mobile, les smartphones et la géolocalisation ? Pourquoi ne pas exploiter ces facilitateurs entre les professionnels et les clients, ces outils d’instantanéité.

Et si en réalité l’ubérisation était l’évolution logique d’une société qui a pris pour acquis un fonctionnement dont la lourdeur entrave plus que tout la collaboration entre ses différents intervenants ? Et s’il existait une ubérisation potivie ?

Télétravail, salariat… s’adapter ou disparaître ?

La pandémie a surpris le monde entier. Elle a obligé de nombreux pays à fermer complètement leurs frontières, à changer leur mode de vie d’un jour à l’autre ! l

Face à cette contrainte, il est devenu impossible de ne pas se pencher sur les déficiences des statuts sociaux et économiques actuels.

Prenons un seul exemple : toutes ces entreprises qui ont dû recourir au chômage partiel ou au télétravail pour survivre quand d’autres ont tout simplement fermé…

Ne serait-il pas temps d’adapter, de changer nos comportements professionnels pour permettre à l’économie de continuer à servir l’intérêt humain, y compris en cas de nouvelle crise?

Et si nous reconsidérions tout simplement nos méthodes de travail pour leur permettre de correspondre à la réalité, aux besoins des acteurs professionnels tout en remplissant ses missions sociales ?

L’ouverture d’esprit est une nécessité vitale !

La richesse est dans la diversité, selon un dicton. Aujourd’hui, les acteurs du monde du travail ont le choix entre le salariat et l’indépendance professionnelle, ces deux modes de fonctionnement étant en réalité parfaitement capables de cohabiter, mieux, de coopérer.

Oui, la digitalisation s’accélère ! Elle a encore toutefois beaucoup de chemin à faire pour générer un sentiment de sécurité de l’emploi qu’un grand nombre de personnes recherche.

Pourquoi la digitalisation signerait-elle l’arrêt de mort du salariat ?

Aujourd’hui, il serait bien osé de décrire la digitalisation comme une menace. Aussi, est-il possible de souhaiter une simple adaptation du monde du travail, une modification de nos comportements professionnels pour augmenter différemment nos sources de revenus/

Il convient en réalité d’adapter notre modèle afin qu’il corresponde à la réalité !

Le marketing relationnel, le modèle d’une adaptation permanente réussie !

Quand vous connaissez un peu mieux le marketing relationnel, vous découvrez que vous êtes entrés dans un système gagnant-gagnant d’entrepreneurs qui enrichissement équitablement la communauté.

Chacun progresse à son rythme sans hiérarchie. Le management participatif est au coeur du métier. Vous progressez facilement avec l’aide d’une équipe qui possède tout simplement plus d’expérience que vous et qui vous la partage.

Vos efforts sont valorisés au fur et à mesure et votre travail récompensé. Plus vous vous donnez, plus vous recevez.

Il est hors de question de jouer au commercial ! Vous utilisez simplement la puissance du bouche à oreille ! Quelque chose que tout le monde sait faire ! Qui n’a pas déjà recommandé un bon livre, un bon film ou un bon restaurant. Avez-vous été rémunéré pour cela ? Non ? Et bien, le marketing relationnel met juste à votre service une compétence que vous avez déjà ! Une compétence qui s’utilise facilement y compris en complément d’une activité salariée.

Les deux peuvent donc très bien cohabiter facilement et ouvrir de nouvelles perspectives d’avenir.

La seule chose qui vous sera demandée ? De la motivation !